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  • salvator dedaj (alias sam)
  • Suis un peu touche à tout, bricolage, guitare, écris & compose des chansons, traduis des chansons anglaises.
Je n'aime pas l'idée qu'il faut être un winner ...beurk
né en Albanie, grandi en Australie, en France depuis '67
  • Suis un peu touche à tout, bricolage, guitare, écris & compose des chansons, traduis des chansons anglaises. Je n'aime pas l'idée qu'il faut être un winner ...beurk né en Albanie, grandi en Australie, en France depuis '67

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29 juillet 2010 4 29 /07 /juillet /2010 08:31

Pour ceux qui se souviennent de cette émission, où on demandait à des gens d'envoyer des chocs électriques à une autre personne, j'ai ressenti un malaise tout personnel:

Je n'ai pas trouvé l'idée de l'expéreince choquante, mais les commentaires qui ont suivi m'ont parus bien insuffisants.

Personne n'a envie de se croire un tortionnaire potentiel, mais encore faut-il en avoir conscience.

Quand j'entends parler de dépressions ou de suicides à cause du travail, je me demande toujours, où se trouvaient les collègues de ces gens, voire s'ils n'ont pas aidé à enfoncer quelqu'un déjà en difficulté.

Bien sûr on trouve toujours de bonnes raisons pour mépriser quelqu'un (n'est pas à sa place, asocial...), mais son entourage pratique parfois la torture, alors que personne ne leur le demande.

 

French television adapted the Milgram experience, by asking people to send electric shocks to another person, and I felt uncomfortable in a very personal way.

The principle for this experience is not shocking to me, but I believe that it's demonstration is not complete.

No body wants to think of himself as a an potential torturer, but then again, you'd have to be aware of it.

When I hear of nervous breakdowns, or suicides at the workplace, I wonder what the collegues were doing? or even if they didn't help push his head under water (not in his right place, socially inadapted...) but the people aroud him sometimes do torturing, even if no one asked them to do so.

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